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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 17:46

Dimitri BULAN est votre hypnothérapeute sur

Le Havre (06 17 55 32 69 ) et sa région.

« La souffrance liée aux ruptures amoureuses est souvent sous-estimée »

« Avec le temps, tout passe », « un de perdu, dix de retrouvés »… A l’heure où un couple sur trois se sépare, rompre est devenu banal. Mais la séparation amoureuse reste le plus souvent une expérience très douloureuse. Pour Lisa Letessier, psychologue cognitivo-comportementaliste, il s’agit même d’un des évènements les plus difficiles à traverser. 

Propos recueillis par Margaux Rambert

Psychologies : La souffrance liée à une séparation semble banalisée dans notre société. Qui n’a pas entendu « un de perdu, dix de retrouvés », « tu en trouveras un(e) autre », « avec le temps, tout passe »… ? Comment l’expliquer ?

Lisa Letessier : Cette souffrance est très souvent sous-estimée, en effet. La rupture amoureuse est classée dans les évènements de vie, elle est devenue quelque chose de banal, que tout le monde vit au moins une fois. On se dit donc que l’on s’en sort, que ce n’est pas grave. Et heureusement, c’est souvent le cas. Mais pour certains, ce peut être le déclencheur de grandes difficultés : de dépressions majeures, de crises d’angoisses, de décompensations, quand il y a des terrains fragiles. Certains ne vont plus pouvoir travailler et vont être arrêtés. D’autres vont se réfugier dans l’alcool, la drogue, ou adopter des comportements, notamment sexuels, à risques… Et on a observé que chez 50% des personnes qui ont fait une tentative de suicide, le déclencheur était une séparation amoureuse. Dans une rupture, on a parfois vraiment l’impression que nous n’allons pas nous en sortir. Que nous ne pouvons pas vivre sans l’autre, que nous allons mourir. Des angoisses archaïques de séparation et même de mort peuvent resurgir. C’est très physique, comme sensation.

Pour vous, une rupture amoureuse est l’un des évènements les plus difficiles à traverser dans une vie. Pourquoi ?

Lisa Letessier : Une séparation déclenche les mêmes processus psychologiques qu’un décès. Il y a un véritable deuil à faire, mais de quelqu’un qui est encore là et qui nous refuse sa présence, son amour, son soutien. C’est extrêmement douloureux. Le couple représente une illusion de permanence. On se construit comme une petite bulle, avec des repères que nous pensons stables, des projections dans l’avenir. Lorsque tout d’un coup, tout ceci prend fin, c’est comme si la vie s’arrêtait. Notre monde, notre équilibre, nos rêves s’écroulent. C’est un énorme bouleversement des repères psychiques. Un tremblement de terre, un tsunami, parfois.

 Quand le couple a été ensemble peu de temps, ou qu’il est jeune, nous avons encore plus tendance à minimiser la souffrance endurée. « Ca ne fait que six mois », « tu as la vie devant toi »… La douleur est-elle proportionnelle à la durée de la relation ou à l’âge des membres du couple ?

Lisa Letessier : Pas du tout. Cet état de détresse psychique peut toucher tout le monde, à tout âge. On banalise trop souvent les ruptures chez les adolescents car ils sont jeunes. En réalité, ils sont à surveiller car ils sont très impulsifs et capables de faire des bêtises. De même, ce n’est pas parce que le couple était ensemble depuis peu que la souffrance est moins forte. Lors de la période de « lune de miel » qui caractérise le début d’une relation, la sécrétion d’ocytocine et de dopamine fait l’effet d’une drogue. Quand la séparation a lieu très tôt, on subit donc un sevrage brutal, qui entraîne une sensation physique de manque, avec ce sentiment terrible de vide et ce besoin compulsif de voir l’autre. Ceci génère parfois des comportements très obsessionnels, avec des ex qui ne lâchent pas l’affaire, qui suivent celui est parti, le harcèlent de messages… 

Comprendre pourquoi ça n’a pas marché

« Pourquoi ça n’a pas fonctionné entre nous ? », « Pourquoi m’a-t-il/elle quitté(e) » ? La question hante souvent les ex amoureux. Surtout ceux qui ont été quittés brutalement, ou sans explications. « Lorsqu’on ne comprend pas ce qui s’est passé, le deuil est encore plus difficile, analyse la psychologue. Mais dans certains cas, il va falloir accepter que les explications ne viendront pas de l’autre. » Et en chercher alors en soi.

« En travaillant sur nous, nous pouvons trouver des explications. Souvent, quand une relation se termine, nous avons tendance à l’idéaliser. Mais a priori, si c’est fini, c’est que cela ne marchait pas. Commençons par nous poser des questions : "comment en sommes-nous arrivés là ? Qu’est-ce qui n’allait pas et qui a fait que ça s’est terminé ?". Et aussi "pourquoi nous étions-nous mis ensemble ?". Avait-on par exemple choisi un partenaire qui ne convenait pas à la base ? Et si oui, pourquoi ? ».

L’exercice de Lisa Letessier : « Ecrivez votre histoire »
Ecrivez le récit de votre histoire d’amour. Racontez votre rencontre, vos traits de personnalité, vos comportements l’un envers l’autre, les évènements marquants de la relation, et comment celle-ci s’est finie. Si possible, demandez à un proche de vous lire ce récit. C’est parfois l’occasion d’une vraie prise de conscience : que son couple allait mal depuis un moment, qu’on a souffert avec l’autre, ou à l’inverse, qu’on a été très pénible et qu’on comprend que l’autre soit parti… 

Sortir de la répétition amoureuse

Parfois, les histoires - et les ruptures - se suivent et se ressemblent. Mêmes scénarios, mêmes personnes qui nous attirent, mêmes relations dévastatrices… Une répétition amoureuse qui trouve souvent son origine dans notre enfance. 

« Lorsqu’on s'interroge sur nos échecs amoureux, il est intéressant de travailler sur nos schémas qui nous conduisent à répéter des scénarios de vie. Que vient-on reproduire de notre enfance ou d’une certaine situation que nous avons pu vivre étant enfant ? Souffre-t-on d’un schéma de méfiance (« les gens peuvent trahir et décevoir ») ? D’imperfection (« si les autres savaient qui je suis réellement, ils ne m’aimeraient pas ») ? De dépendance (« je ne peux pas me débrouiller tout seul ») ? De carence affective (« personne ne pourra jamais m’aimer ») ? … Un travail qu’il est parfois bon de mener avec l’aide d’un professionnel.

L’exercice de Lisa Letessier : « Faites la liste de vos ex »
Dressez la liste de toutes vos histoires précédentes : comment vous étiez-vous rencontrés, comment se sont-elles déroulées, quels étaient les traits de personnalité de l’autre, comment ça s’est fini… Et essayez de trouver des points communs. 

Prendre le temps de faire son deuil

Un amour déçu, raté, est source d’une grande douleur, qui reste souvent longtemps présente. « Il n’est pas rare de mettre un an à s’en remettre », rappelle Lisa Letessier. N’en déplaise à ceux de notre entourage qui nous enjoignent à « tourner la page au plus vite ». Comme tout deuil, celui-ci est propre à chacun.

« On peut considérer qu’il est terminé le jour où nous sommes capables de repenser à l’autre sans être totalement transpercés de douleur. Le jour aussi où pouvons même ressentir une certaine bienveillance envers lui, avec cette idée que ça n’a pas marché, et c’est tout. L’idéal est de parvenir à ne pas raisonner en noir et blanc : d’être lucide sur ce que l’autre nous apportait, mais aussi sur ce qui n’allait pas ». Autre signe que la page est tournée, pour la psychologue : « c’est de le/la revoir et de se dire qu’on n’aimerait pas qu’il/elle revienne ».


L’exercice de Lisa Letessier : « Ecrivez une lettre à votre ex »

Mais si les idées noires ou les émotions négatives demeurent trop fortes, il ne faut pas hésiter à consulter. « Si vous sentez que votre douleur devient vraiment handicapante et que vous êtes à court de ressources, ou que vous commencez à développer des comportements obsessionnels envers l’autre, allez voir un thérapeute ».

C’est un rituel de fin qui permet d’écrire la dernière page du livre, de refermer l’histoire. De dire au revoir tranquillement. Si votre lettre est très émotionnelle, pleine de colère ou de tristesse, c’est que le travail de deuil n’est pas terminé. Après, il n’est pas obligatoire de l’envoyer. A vous de décider.

 

 

Vous souhaitez vivre mieux votre vie,

contactez moi au 06 17 55 32 69

( REGION LE HAVRE )

ensemble nous avons la solution

SITE : http://www.hypnobulan.fr
LIRE AUSSI : les 21 jours du cerveau

source

http://www.psychologies.com/Couple/Crises-Divorce/Separation/Articles-et-Dossiers/Rupture-amoureuse-5-cles-pour-rebondir/7Prendre-le-temps-de-faire-son-deuil

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 12:09

Dimitri BULAN, hypnothérapeute diplômé de l'IFHE (Paris), consulte à votre domicile et sur rendez vous au 06 17 55 32 69

 

SITE : hypnobulan.fr

Blog complet : hypnobulan.org

 

article commandé pour une revue spécialisée (ITSRA)

 

La pratique de l’Hypnose existe officiellement depuis 1841 lorsque le chirurgien écossais James BRAID édicte le principe de cet autre état de conscience (EMC, état modifié de conscience).

En 1891 le professeur Hyppolite BERNSTEIN invente le terme « psychothérapie » qui définit une technique de langage créant un autre état de conscience afin de faire passer des phrases simples en direct au cerveau. Cet état modifié de conscience permet aux suggestions hypnotiques d’activer un mécanisme inconscient de solution ou dérivatif de souffrances.

 

Avec le professeur Milton H ERICKSON, l’hypnose devient « éricksonienne ».

Lors de sa jeunesse il observe avec assiduité ses sœurs et se rend compte qu’il existe des signes extérieurs au langage verbal. Elles pouvaient dire « oui » et les mouvements du corps trahissaient un «  non » silencieux. C’est le début de la calibration, cette observation fine du corps ainsi que la fameuse communication non verbale par l’expression corporelle.

L’Hypnose Ericksonienne considère l’individu comme unique, et de cela découle une approche sur mesure pour chaque patient. Cela exclue d’office les théories sur les manières de penser et la standardisation de la méthode thérapeutique. L’inconscient individuel est la partie la plus sollicitée car il est un vaste réservoir de solutions compatibles avec le patient. Ce même inconscient s’exprime en communication non verbale permettant de contourner le système classique de communication cognitif. Le travail est effectué en état modifié de conscience. Cet état apparaît uniquement après un long travail de rationalisation verbale et non verbale des signes vitaux du patient par le praticien.

Puis dans les années 1950 émerge un nouveau courant issu de l’Ecole dite de « Palo Alto »

amenant la « Nouvelle Hypnose ». Ce sont des techniques supplémentaires de suggestions où de nouveaux concepts qui sont élaborés dans le sens où le langage utilisé devient encore plus permissif dans ses expressions. Il n’est pas dit : «  vous rentrez dans tel endroit qui est comme ceci et vous voyez cela de telle couleur ». Par ailleurs, la notion de « thérapie dite brève » devient synonyme d’Ericksonien.

Parallèlement à cela une synthèse globale de tout ce qui existe dans le domaine se crée à travers la programmation neuro linguitique (PNL) avec Messieurs BANDLER et GRINDER ; théorisant le modèle et le geste parfait à connaître pour le reproduire. Amenant à identifier les maux dans les mots ou le « mal à dit » dans la maladie, afin de décrocher le cercle vertueux dans lequel le mal être s’installe, s’ancre et s’auto alimente. Cela ne représente que 70% de la technique de départ.

L’EMDR se fait connaître dans les années 80(ou le mouvement des yeux, désensibilisation et retraitement), mais est également issu des techniques Ericksoniennes. Vos yeux  communiquent en non verbal lorsque vous parlez.

Tout ce cheminement de techniques évoquées permettant un travail réel et efficient sur l’inconscient, ressource immense et non exploitée de façon consciente car censurée par l’égo ; cette notion de ce que vous êtes tout de suite et maintenant.

Cela pré-suppose qu’en fonction de votre environnement vous générez un comportement adéquat, qui entraine des capacités, qui aboutissent à des croyances ou des valeurs, forgeant votre identité du moment ; pour générer finalement une philosophie. L’inconscient c’est cela, pour faire simple en application immédiate.

Malheureusement si la solution n’existe pas ici, où existe-t-elle ?

 Dans les année 90, Olivier LOCKERT (Hypnothérapeute et Enseignant en Hypnose Ericksonienne) inverse le modèle éricksonien et crée l’ Hypnose Humaniste où finalement ce travail se fait en état extra ordinaire de conscience (EEC), donc plus de conscience…Cela s’apparente aux travaux dits transpersonnels, et la solution est dans l’échange et l’évolution du patient.

 

 

 

Le non verbal commence où ?

 

Lors du premier contact téléphonique les termes utilisés dans votre mode d’explication orale induisent en langage subliminal votre mode d’enregistrement des informations et votre mode de restitution. Si vous parlez en utilisant des mots relatifs à « voir », vous êtes plutôt visuel ; des mots sur le son et les bruits vous êtes auditif ; des mots plutôt odeurs vous êtes olfactif ; des mots orientés zone buccale vous êtes gustatif ; ou un bon mélange de toutes les sensations vous êtes kinesthésique. La réponse qui ne peut que vous convenir doit être verbalisée dans le même mode d’expression que celui de l’émission. Votre position dans la conversation amène également à savoir si vous êtes introverti ou extraverti, le verre est-il à moitié plein ou à moitié vide ?

 

Au premier contact physique, le débit de votre voix, votre respiration, les mouvements oculaires lors du dialogue, la posture droite ou gauche, les tics physiques, les tics de langage…tous ces gestes et mots anodins du quotidien transpirent votre « vous » profond. Pour certains cela passe par un dialogue intérieur avant chaque réponse, une forme d’auto censure que vos yeux expriment à votre insu. Idem dans les problématiques de pathologies. Le praticien doit vous observer en profondeur pour se caler sur vous en langage, respiration, posture et autre afin de créer un état réel d’empathie. Il arrive que certains de vos mots résonnent comme des leitmotive. Cela permettant de savoir dans quel sens tendre l’exercice thérapeutique.

Puis passe un état d’échange « miroir » où vous êtes en état de sentir que le praticien comprend. Attention l’empathie est un mécanisme subtil de compréhension sans projection de soi dans l’autre, ni d’intellectualisation de la pathologie de l’autre. Donc cela n’est pas la sympathie dans laquelle la personne plaint sincèrement de tout son cœur les  douleurs de l’autre en s’y projetant.

 Pour établir cela le praticien est en position basse ; il ne sait rien. Donc zéro projection de sa vie chez le patient, et seul le patient utilise ses maux à travers ses mots, ou l’inverse. Puis vient le moment où le patient entre progressivement dans un état d’acceptation de ce que le praticien fait ou lui dit ; en lui parlant il lui fait faire des gestes courts et simples que le patient refait machinalement. Vous vous grattez le nez, clignez de l’œil. Puis les mots utilisés deviennent des sujétions saupoudrées dans la conversation. Votre inconscient est devenu ultra communicant car sur les sujétions simples, il valide directement. Il crée un signal visuel du type « morse ». C’est le « signaling ». Votre cerveau est donc près pour la deuxième phase de l’exercice en langage non spécifique.

 

Le non spécifique est l’art de la périphrase si cher à Molière dans « les précieuses ridicules ». « Amenez moi donc les commodités de la conversation ? Une chaise bien sûr. »

A ce stade de l’exercice, le patient est en état modifié de conscience, le thérapeute peut par l’utilisation d’adjectifs qualificatifs relatifs à la légèreté suggérer une lévitation de la main (la main qui se lève automatiquement). Cela se fait sans indiquer laquelle, sans dire « la main se lève » c’est une métaphore. Seul l’inconscient connaît l’exercice. Lors d’un exercice dit de la Méthode de Rossi, la main droite se lèvera pour certaines problématiques, la gauche pour proposer des solutions, elles se rejoindront peut être ; ou lors de la métaphore chacune communique sur la ou les solutions. Le patient communique en non verbal et à l’insu de lui-même, permettant au thérapeute de savoir où en est le travail de solution. De même qu’à chaque question posée par le thérapeute, l’inconscient répond.

 

 

Lors de soins, le langage utilisé doit être le plus neutre, le plus léger, le plus positif possible. Surtout ne jamais dire « je vais vous faire mal » ou « cela ne fait pas mal ». Pourquoi ?

Le cerveau reptilien ne comprend pas la négation, et reçoit l’information comme un enfant de six ans. La subtilité non verbale est de détourner l’attention sur une autre zone qui n’est pas sollicitée. Exemple dans le cas d’une piqûre sur le bras droit, amenez l’attention sur l’autre bras. Pour soulager les douleurs, essayez de les répartir sur un souvenir agréable chez le sujet. Toutes ces techniques permettent efficacement d’agir sans donner directement l’ordre.

Chez les handicapés et les personnes âgées, les exercices d’imaginations du genre dissociation (être ici physiquement et mentalement ailleurs) permettent d’amener le cerveau à se débrancher des centres de douleurs.

 Le non verbal est présent.

Il n’est pas dit « vous n’avez plus mal ou moins mal ». Seule la construction d’une histoire, d’un conte amène une rêverie guidée vers la porte de l’inconscient le temps nécessaire de prodiguer des soins. Dans ces exercices la respiration est le moteur de la mise en place du bien être. L’imagination guidée par le thérapeute à travers le langage des cinq sens crée le reste.

Le fond reste de lire entre les lignes pour communiquer avec l’inconscient.

Donner un choix illusoire entre deux choses similaires qui invalide le négatif ; « vous avez le choix entre vous lever pour aller au café ou vous lever pour regarder par la fenêtre ». Le choix de rester couché est évacué. Vous vous levez.

Parler autrement ; la personne qui dit « je ne peux plus marcher »…devra être amenée à dire « je suis assis et je peux voir, entendre, goûter, parler… ». Ce sont des recadrages qui désamorcent le mal être.

En conclusion, je citerai Monsieur Milton Erickson :

Toute votre vie vous avez appris...et vous pouvez faire le tri dans vos souvenirs, vos espoirs,

vos anticipations et vos désirs, et organiser différemment vos apprentissages de façon à ce que cette nouvelle organisation serve votre évolution et votre bien-être

 Auteur :

Dimitri BULAN Hypnothérapeute Praticien.

Consultation au 06 17 55 32 69

commandé par :

DOC' AMP - La revue pratique des aides médico-psychologiques

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 16:48

Dimitri BULAN, Hypnothérapeute et Coach de vie diplômé, travaille en consultation à votre domicile sur Le Havre, Octeville sur Mer, Etretat, Fécamp, Cany Barville, Yvetot, Duclair, Vatteville La Rue, Lillebonne, Notre dame de Gravenchon, Pont Audemer, Pont Lévêque, Deauville, Trouville sur Mer, Villerville, Honfleur...


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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 16:43

Dimitri BULAN, Hypnothérapeute et Coach de vie diplômé spécialisé sur le couple, travaille en consultation à votre domicile  sur Le Havre, Octeville sur Mer, Etretat, Fécamp, Cany Barville, Yvetot, Duclair, Vatteville La Rue, Lillebonne, Notre dame de Gravenchon, Pont Audemer, Pont Lévêque, Deauville, Trouville sur Mer, Villerville, Honfleur...



3 étapes pour faire un couple

 

La relation amoureuse est un processus en mouvement qui passe par différents stades. De la fusion à la relation durable, analyse d’un parcours d’obstacles qui demande ouverture d’esprit et adaptabilité…

 

« Etre amoureux n’est pas un état mais un devenir », écrivait le psychosociologue italien Francesco Alberoni dans Le Choc amoureux(Pocket, 1993).

 

Depuis cet ouvrage de référence, on ne compte plus les études des thérapeutes de couple qui ont insisté sur le mode évolutif de l’état amoureux. Qu’elles mettent à jour trois, quatre ou six étapes, ces recherches s’accordent toutes pour dire que, du coup de foudre au rapprochement en passant par la différenciation, l’amour suit une chronologie.

Il ne s’agit pas de dire que toutes nos histoires de cœur se déroulent suivant un seul et même scénario ; chacun arrive dans le couple avec ses expériences, ses fragilités, ses forces, et c’est de la rencontre entre ces deux histoires que dépendront la nature et l’évolution de l’amour. Puis, selon le temps qu’ils prennent avant de cohabiter ou d’avoir des enfants, selon l’attention qu’ils portent à leur relation, selon leur âge aussi, les partenaires s’attardent plus ou moins longtemps sur l’une ou l’autre des étapes de la relation amoureuse. De même, le passage d’une phase à l’autre n’est pas définitif : il y a des temps de régression, d’accélération, de stagnation…


Il n’empêche : toutes les amours au long cours passent par des stades identiques. En nous appuyant sur les différentes études existantes, nous en avons défini trois.

En quoi ces étapes sont-elles la clé d’une relation heureuse et durable ? Comment passer de l’une à l’autre ?

Avec quelles conséquences ?

Analyse de l’histoire d’amour vu comme un parcours.


La fusion

 

1 -Notamment In Quest of the Mythical Mate : Developmental Approach to Diagnosis and Treatment in Couples Therapy d’Ellyn Bader et Peter T. Pearson (Burnner-Mazel, 1988).


Les signes : « Tu es celle que j’attendais » ; « Nous sommes d’accord sur tout » ; « Toi et moi ne faisons qu’un »… Aujourd’hui, toute relation, ou presque, commence par une attraction passionnelle. C’est l’amour intense, la « symbiose », d’après les psychologues Ellyn Bader et Peter T. Pearson. Pour les amoureux, chaque éloignement est un déchirement et chaque expérience partagée l’occasion de se découvrir de nouveaux points communs : il semble évident que l’on était faits pour se rencontrer.

Les avantages : cette étape est essentielle à la formation du couple puisqu’elle crée la complicité. La conseillère conjugale Françoise Sand ajoute qu’elle est « l’un des rares moments dans l’existence où l’on peut mûrir sans douleur » : elle permet de sortir de soi, découvrir des aspects de la vie que l’on n’avait pas envisagés seul ou dont on avait peur.

 

L’amour passion donne des ailes.

Les pièges : cet amour passion repose en grande partie sur des leurres. En effet, chacun s’imagine que si cette relation est aussi intense, c’est parce que l’autre correspond parfaitement à l’image du partenaire idéal qu’il porte en lui. Autrement dit, plutôt que de le voir dans ce qu’il est réellement et globalement, il devient le support de nos projections. L’attente à son égard est si forte que nous l’idéalisons : ses défauts sont niés au bénéfice de ses seules qualités.


Les clés : profiter absolument de cette lune de miel, car elle est aussi agréable qu’éphémère. Elle durerait entre deux et trois ans, en moyenne. Après ? Le retour à la réalité s’impose de lui-même et cette fusion si rassurante devient peu à peu étouffante, aliénante. Le besoin d’air se fait sentir.


La différenciation

 

Les signes : « Tu n’es pas celui que je croyais » ; « Je ne comprends pas que tu puisses aimer cela » ; « Tu ne sais pas ce que je pense vraiment »… Avec la cohabitation, le partage du quotidien et les responsabilités à assumer, le couple descend de son nuage pour se confronter à la réalité. Alors qu’ils ne voyaient que ce qui les unissait, les partenaires découvrent peu à peu leurs différences. L’autre révèle toutes les facettes de sa personnalité. Déception ? Inéluctablement, puisqu’il s’agit de dire adieu à l’image idéalisée que chacun avait de l’autre, mais aussi de soi : la vie à deux nous fait découvrir des aspects de notre propre caractère, que nous n’avions jamais eu l’occasion de cerner et que l’autre nous aide à percevoir.


Les avantages : cette étape est fondamentale puisqu’elle permet de se retrouver soi-même, de reprendre contact avec ses propres intérêts et objectifs de vie. Sans cette étape, la fusion finit par être vécue comme un carcan dans lequel les personnalités de chacun sont niées… jusqu’à la crise. Sur une infidélité ou un départ soudain, plus d’une histoire d’amour se termine avant d’avoir dépassé cette phase.


Les pièges : il n’est pas simple de rompre avec sa vision fantasmée de l’amour et d’accepter de vivre une relation qui ne soit pas tous les jours synonyme de plaisir. Signe de notre attachement à une tradition romantique ou de l’influence d’une société qui fait de l’hédonisme une finalité : nous avons tendance à penser que la fougue des premiers temps est « la » définition de l’amour. L’autre difficulté tient au fait que cette étape du retour à la réalité n’intervient pas simultanément chez les partenaires : celui qui vit encore dans l’idéalisation peut se croire abandonné, moins aimé, tandis que l’autre ne se sentira pas reconnu dans une relation devenue étouffante.


Les clés : de l’air et de la communication.

 

Prendre l’air, c’est savoir sortir du couple pour vivre ses loisirs, servir ses ambitions professionnelles… C’est redevenir « un », définir son territoire qui n’est pas le même que celui de son partenaire. Pour faire admettre cette prise de distance, la communication est indispensable : les partenaires doivent oser expliquer leurs envies, leurs besoins, afin d’éviter que cette différenciation soit interprétée comme une fuite ou un déclin de l’amour.

 

source: psychologiecom

 

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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 17:46

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 12:57

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Thérapeute et Coach diplômé en Programmation Neuro Linguistique (PNL) et en Hypnose intégrative, je vous propose via ce service payant des consultations à travers toute la France Métropolitaine, par messagerie instantanée (FB), entretiens téléphoniques ou échanges de mails.

 

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 19:54

 

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 19:51
LE STRESS PROFESSIONNEL
 
 
 

Aujourd'hui tous les termes faisant état des difficultés comme le stress, les violences externes ou internes (en entreprise), le harcèlement moral ou encore le mal être de la personne sont enfin régis par un article du code du travail ; l'article 230-2.
Il y est inscrit que " le chef d'entreprise a une obligation générale de santé et de sécurité vis à vis de ses salariés. Il doit veiller à protéger leur santé physique et mentale. Les pratiques de harcèlement moral sont interdites dans l'entreprise ; le chef d'entreprise doit les prévenir et les sanctionner."

Ces risques, liés au stress, passent dans un cadre de prévention cadré par un audit prenant la forme d'un dépistage des facteurs indicateurs (niveau de stress, management, temps de travail, résultats individuel ou de la Team, absentéisme...).
Cela permettant la mise en oeuvre d'un plan préventif.

Il est clair qu'un audit permet de mesurer sur place et "in vivo" le climat dans lequel  évoluent les salariés.

Les solutions pouvant être mise en place ensuite, peuvent prendre deux pistes de réflexion :

- la cellule "Team and Manager".
- l'individu en temps qu' Etre Humain.


La première, se cadre avec une analyse fine du rôle et de la place de chacun dans la Team et des méthodes de management utilisées pour tendre à une prise de conscience collective.
Le travail sera exclusivement orienté en Programmation Neuro Linguistique conformément à la Détermination d'objectif effectuée précédemment. Cela se faisant exclusivement sur le lieux de travail.

La seconde, se gère d'un point de vue thérapeutique, donc avec toute l'étique que cela présuppose ; à savoir celle du secret dans le rapport patient / praticien.
Les méthodes mises en place relevant de l'Hypnose Ericksonienne, seul le patient définira son objectif.
Il est possible d'envisager un partenariat économique sur la facturation avec l'employeur si le CHSCT se mobilise sur un risque majeur.

 

 


Quelques définitions émisent par l'Agence Européenne pour la Santé et la Sécurité au Travail :

Stress au travail :

 

 


"un stress survient lorsqu'il y a un déséquilibre entre la perception qu'une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu'elle a de ses propres ressources pour y faire face.
Bien que le processus d'évaluation descontraintes et des ressources soit d'ordre psychologique, les effets du stress ne sont pas uniquement de nature psychologique. Il affecte également la santé physique, le bien être et la productivité de la personne qui y est soumise.
On distingue le stress aigu et le stress chronique.
Le stress aigu est un ensemble de réactions physiologique et psychologique qui activent l'organisme et lui permettent de s'adapter à une situation nouvelle et dangereuse ou comportant un enjeu.
S'il n'est pas trop intense, le stress aigu n'est en général pas délétère pour l'organisme. Il disparaîtra quand l'agent stressant cessera.
Le stress chronique est, en revanche, toujours délétère pour l'organisme. Face à une situation de travail, quand tous les jours, les contraintes semblent dépasser les capacités de réponse de la personne, son organisme est activé de façon permanente et incontrôlable.
En quelques semaines, il finit par s'épuiser. 


Violences externes :


Les violences externes sont des insultes ou des menaces ou des agressions physiques ou psychologiques exercées contre une personne sur son lieu de travail par des personnes externes à l'entreprise, y compris les clients, qui mettent en péril sa santé, sa sécurité ou son bien être.


Violences internes :

Les violences internes concernent les agressions physiques ou verbales, les insultes, les brimades, les intimidations, les conflits exacerbés, entre collègues ou avec les responsables hiérarchiques.
Elles incluent les situations de harcellement moral et sexuel.

 


Le harcèlement moral est défini par l'article L.122-49 du code du travail ; " aucun salarié ne doit subir des agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptibles de porter atteinte aux droits du salarié et à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale et de compromettre son avenir professionnel.Deux notions caractérisent le harcèlement moral : la répétition des agissements et la dégradation des conditions de travail.


Le harcèlement sexuel, tel que défini par l'article L.122-46 du code du travail, se caractérise par " des agissements de toutes personnes dont le but est d'obtenir des faveurs de nature sexuelle à son profit ou au profit d'un tiers. En 2002, la loi a ainsi étendu la faute au delà des seuls supérieurs hiérarchiques des victimes de ce délit...

 

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 19:50
Rapport fait sur demande du premier ministre.
Bien être et efficacité au travail :
les dix propositions pour améliorer la santé psychologique de vos salariés au travail.
Le 05/10 2010, le Premier Ministre a demandé un rapport de proposition de mesures pour améliorer les conditions de santé psychologique au travail.
 
Mon Cabinet HYPNOBULAN, par mon intermédiaire, Dimitri BULAN, vous présente ici sa synthèse et reste à votre écoute quant à sa mise en place au sein de votre entreprise:
 
Le métier est une partie prenante de l'épanouissement personnel du salarié et reste un vecteur d'intégration social important.
L'état de stress survient lorsqu'il y a un déséquilibre entre la perception qu'une personne a de ses contraintes que lui impose son environnement et la perception qu'elle a de ses propres ressources pour y faire face.
(accord national interprofessionnel du 2 juillet 2008 sur le stress au travail)
 
Les facteurs de stress retenus sont :
 
- réorganisation, restructuration, changements au sein de l'entreprise
 
- peur du chômage et incertitude du lendemain
 
- clientèle de plus en plus exigeante, avec une accélération de la demande souvent liée à l'utilisation des nouveaux moyens de communications
 
- les moyens virtuels raccourcissent les délais accélérant les rapports temps et travail
 
- standardisation et parcellisation des tâches et des relations
 
- la seule valeur de performance analysée par le managering reste la performance financière
 
- le centralisme décrédibilise le management de proximité
 
- perte du sentiment d'autonomie par le reporting et autres formes d'organisations
 
- les difficultés dans les relations de travail au sein de l'équipe ou avec le manager
 
- les contraintes de transport créent de nouvelles tensions
 
- la diminution des liens sociaux de la sphère privée crée une carence engendrant une attente dans le lien social de l'entreprise
 
 
 
Il est donc nécessaire de repenser les modes de management, d'organisation et de vie sociale en vue de nouvelles solutions induisant un nouvel équilibre sur le facteur solution que représente l'entreprise dans la vie du salarié ; intégrant ainsi la performance sociale tant qu'économique.
 
La ressource principale de l'entreprise est la variable humaine...
Au delà de cette expression, l'Etre Humain constitue la ressource stratégique majeure et les dirigeants doivent s'en préoccupé aux même titre que les enjeux économiques.
Comment un entreprise peut être performante si elle est le vecteur du mal être de ses salariés ?
 
 
Les dix propositions du rapport concernant le développement du bien être au travail :
 
- l'implication de la direction générale et de son conseil d' administration est indispensable ; l'évaluation de la performance doit intégrer le facteur humain et donc la santé des salariés.
 
- la santé des salariés est d'abord l'affaire des managers, elle ne s'externalise pas ; les managers de proximité sont les premiers acteurs de santé.
 
- donner aux salariés le moyen de se réaliser dans le travail en restaurant des espaces de discussion et d'autonomie dans le travail.
 
- impliquer les partenaires sociaux dans la construction des conditions de santé ; le dialogue social dans l'entreprise et en dehors est une priorité.
 
- la mesure induit les comportements ; mesurer les conditions de santé et de sécurité au travail est une condition du développement du bien être en entreprise.
 
- préparer et former les managers au rôle de manager ; affirmer et concrétiser la responsabilité du manager vis à vis des équipes et des hommes/femmes.
 
- ne pas réduire le collectif de travail à une addition d'individus ; valoriser la performance collective pour rendre les organisations de travail plus motivantes et plus efficientes.
 
- anticiper et prendre en compte l'impact humain des changements ; tout projet de réorganisation ou de restructuration doit mesurer l'impact et la faisabilité humaine du changement.
 
- la santé au travail ne se limite pas aux frontières de l'entreprise, l'entreprise a un impact humain sur son environnement, en particulier sur ses fournisseurs.
 
- ne pas laisser le salarié seul face à ses problèmes ; accompagner les salariés en difficulté
 
 
 
 
Cela passe une modification normative de la politique de santé au travail et un accompagnement que seul notre formation peut vous fournir.
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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 19:48
Coaching mobile en Europe
Votre coach avec vous en déplacement à l'étranger
 
Oui se faire coacher à l'étranger est aujourd'hui possible.

Vous partez en déplacement et souhaitez :

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