Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 12:09

Dimitri BULAN, hypnothérapeute diplômé de l'IFHE (Paris), consulte à votre domicile et sur rendez vous au 06 17 55 32 69

 

SITE : hypnobulan.fr

Blog complet : hypnobulan.org

 

article commandé pour une revue spécialisée (ITSRA)

 

La pratique de l’Hypnose existe officiellement depuis 1841 lorsque le chirurgien écossais James BRAID édicte le principe de cet autre état de conscience (EMC, état modifié de conscience).

En 1891 le professeur Hyppolite BERNSTEIN invente le terme « psychothérapie » qui définit une technique de langage créant un autre état de conscience afin de faire passer des phrases simples en direct au cerveau. Cet état modifié de conscience permet aux suggestions hypnotiques d’activer un mécanisme inconscient de solution ou dérivatif de souffrances.

 

Avec le professeur Milton H ERICKSON, l’hypnose devient « éricksonienne ».

Lors de sa jeunesse il observe avec assiduité ses sœurs et se rend compte qu’il existe des signes extérieurs au langage verbal. Elles pouvaient dire « oui » et les mouvements du corps trahissaient un «  non » silencieux. C’est le début de la calibration, cette observation fine du corps ainsi que la fameuse communication non verbale par l’expression corporelle.

L’Hypnose Ericksonienne considère l’individu comme unique, et de cela découle une approche sur mesure pour chaque patient. Cela exclue d’office les théories sur les manières de penser et la standardisation de la méthode thérapeutique. L’inconscient individuel est la partie la plus sollicitée car il est un vaste réservoir de solutions compatibles avec le patient. Ce même inconscient s’exprime en communication non verbale permettant de contourner le système classique de communication cognitif. Le travail est effectué en état modifié de conscience. Cet état apparaît uniquement après un long travail de rationalisation verbale et non verbale des signes vitaux du patient par le praticien.

Puis dans les années 1950 émerge un nouveau courant issu de l’Ecole dite de « Palo Alto »

amenant la « Nouvelle Hypnose ». Ce sont des techniques supplémentaires de suggestions où de nouveaux concepts qui sont élaborés dans le sens où le langage utilisé devient encore plus permissif dans ses expressions. Il n’est pas dit : «  vous rentrez dans tel endroit qui est comme ceci et vous voyez cela de telle couleur ». Par ailleurs, la notion de « thérapie dite brève » devient synonyme d’Ericksonien.

Parallèlement à cela une synthèse globale de tout ce qui existe dans le domaine se crée à travers la programmation neuro linguitique (PNL) avec Messieurs BANDLER et GRINDER ; théorisant le modèle et le geste parfait à connaître pour le reproduire. Amenant à identifier les maux dans les mots ou le « mal à dit » dans la maladie, afin de décrocher le cercle vertueux dans lequel le mal être s’installe, s’ancre et s’auto alimente. Cela ne représente que 70% de la technique de départ.

L’EMDR se fait connaître dans les années 80(ou le mouvement des yeux, désensibilisation et retraitement), mais est également issu des techniques Ericksoniennes. Vos yeux  communiquent en non verbal lorsque vous parlez.

Tout ce cheminement de techniques évoquées permettant un travail réel et efficient sur l’inconscient, ressource immense et non exploitée de façon consciente car censurée par l’égo ; cette notion de ce que vous êtes tout de suite et maintenant.

Cela pré-suppose qu’en fonction de votre environnement vous générez un comportement adéquat, qui entraine des capacités, qui aboutissent à des croyances ou des valeurs, forgeant votre identité du moment ; pour générer finalement une philosophie. L’inconscient c’est cela, pour faire simple en application immédiate.

Malheureusement si la solution n’existe pas ici, où existe-t-elle ?

 Dans les année 90, Olivier LOCKERT (Hypnothérapeute et Enseignant en Hypnose Ericksonienne) inverse le modèle éricksonien et crée l’ Hypnose Humaniste où finalement ce travail se fait en état extra ordinaire de conscience (EEC), donc plus de conscience…Cela s’apparente aux travaux dits transpersonnels, et la solution est dans l’échange et l’évolution du patient.

 

 

 

Le non verbal commence où ?

 

Lors du premier contact téléphonique les termes utilisés dans votre mode d’explication orale induisent en langage subliminal votre mode d’enregistrement des informations et votre mode de restitution. Si vous parlez en utilisant des mots relatifs à « voir », vous êtes plutôt visuel ; des mots sur le son et les bruits vous êtes auditif ; des mots plutôt odeurs vous êtes olfactif ; des mots orientés zone buccale vous êtes gustatif ; ou un bon mélange de toutes les sensations vous êtes kinesthésique. La réponse qui ne peut que vous convenir doit être verbalisée dans le même mode d’expression que celui de l’émission. Votre position dans la conversation amène également à savoir si vous êtes introverti ou extraverti, le verre est-il à moitié plein ou à moitié vide ?

 

Au premier contact physique, le débit de votre voix, votre respiration, les mouvements oculaires lors du dialogue, la posture droite ou gauche, les tics physiques, les tics de langage…tous ces gestes et mots anodins du quotidien transpirent votre « vous » profond. Pour certains cela passe par un dialogue intérieur avant chaque réponse, une forme d’auto censure que vos yeux expriment à votre insu. Idem dans les problématiques de pathologies. Le praticien doit vous observer en profondeur pour se caler sur vous en langage, respiration, posture et autre afin de créer un état réel d’empathie. Il arrive que certains de vos mots résonnent comme des leitmotive. Cela permettant de savoir dans quel sens tendre l’exercice thérapeutique.

Puis passe un état d’échange « miroir » où vous êtes en état de sentir que le praticien comprend. Attention l’empathie est un mécanisme subtil de compréhension sans projection de soi dans l’autre, ni d’intellectualisation de la pathologie de l’autre. Donc cela n’est pas la sympathie dans laquelle la personne plaint sincèrement de tout son cœur les  douleurs de l’autre en s’y projetant.

 Pour établir cela le praticien est en position basse ; il ne sait rien. Donc zéro projection de sa vie chez le patient, et seul le patient utilise ses maux à travers ses mots, ou l’inverse. Puis vient le moment où le patient entre progressivement dans un état d’acceptation de ce que le praticien fait ou lui dit ; en lui parlant il lui fait faire des gestes courts et simples que le patient refait machinalement. Vous vous grattez le nez, clignez de l’œil. Puis les mots utilisés deviennent des sujétions saupoudrées dans la conversation. Votre inconscient est devenu ultra communicant car sur les sujétions simples, il valide directement. Il crée un signal visuel du type « morse ». C’est le « signaling ». Votre cerveau est donc près pour la deuxième phase de l’exercice en langage non spécifique.

 

Le non spécifique est l’art de la périphrase si cher à Molière dans « les précieuses ridicules ». « Amenez moi donc les commodités de la conversation ? Une chaise bien sûr. »

A ce stade de l’exercice, le patient est en état modifié de conscience, le thérapeute peut par l’utilisation d’adjectifs qualificatifs relatifs à la légèreté suggérer une lévitation de la main (la main qui se lève automatiquement). Cela se fait sans indiquer laquelle, sans dire « la main se lève » c’est une métaphore. Seul l’inconscient connaît l’exercice. Lors d’un exercice dit de la Méthode de Rossi, la main droite se lèvera pour certaines problématiques, la gauche pour proposer des solutions, elles se rejoindront peut être ; ou lors de la métaphore chacune communique sur la ou les solutions. Le patient communique en non verbal et à l’insu de lui-même, permettant au thérapeute de savoir où en est le travail de solution. De même qu’à chaque question posée par le thérapeute, l’inconscient répond.

 

 

Lors de soins, le langage utilisé doit être le plus neutre, le plus léger, le plus positif possible. Surtout ne jamais dire « je vais vous faire mal » ou « cela ne fait pas mal ». Pourquoi ?

Le cerveau reptilien ne comprend pas la négation, et reçoit l’information comme un enfant de six ans. La subtilité non verbale est de détourner l’attention sur une autre zone qui n’est pas sollicitée. Exemple dans le cas d’une piqûre sur le bras droit, amenez l’attention sur l’autre bras. Pour soulager les douleurs, essayez de les répartir sur un souvenir agréable chez le sujet. Toutes ces techniques permettent efficacement d’agir sans donner directement l’ordre.

Chez les handicapés et les personnes âgées, les exercices d’imaginations du genre dissociation (être ici physiquement et mentalement ailleurs) permettent d’amener le cerveau à se débrancher des centres de douleurs.

 Le non verbal est présent.

Il n’est pas dit « vous n’avez plus mal ou moins mal ». Seule la construction d’une histoire, d’un conte amène une rêverie guidée vers la porte de l’inconscient le temps nécessaire de prodiguer des soins. Dans ces exercices la respiration est le moteur de la mise en place du bien être. L’imagination guidée par le thérapeute à travers le langage des cinq sens crée le reste.

Le fond reste de lire entre les lignes pour communiquer avec l’inconscient.

Donner un choix illusoire entre deux choses similaires qui invalide le négatif ; « vous avez le choix entre vous lever pour aller au café ou vous lever pour regarder par la fenêtre ». Le choix de rester couché est évacué. Vous vous levez.

Parler autrement ; la personne qui dit « je ne peux plus marcher »…devra être amenée à dire « je suis assis et je peux voir, entendre, goûter, parler… ». Ce sont des recadrages qui désamorcent le mal être.

En conclusion, je citerai Monsieur Milton Erickson :

Toute votre vie vous avez appris...et vous pouvez faire le tri dans vos souvenirs, vos espoirs,

vos anticipations et vos désirs, et organiser différemment vos apprentissages de façon à ce que cette nouvelle organisation serve votre évolution et votre bien-être

 Auteur :

Dimitri BULAN Hypnothérapeute Praticien.

Consultation au 06 17 55 32 69

commandé par :

DOC' AMP - La revue pratique des aides médico-psychologiques

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 16:43

Dimitri BULAN, Hypnothérapeute et Coach de vie diplômé spécialisé sur le couple, travaille en consultation à votre domicile  sur Le Havre, Octeville sur Mer, Etretat, Fécamp, Cany Barville, Yvetot, Duclair, Vatteville La Rue, Lillebonne, Notre dame de Gravenchon, Pont Audemer, Pont Lévêque, Deauville, Trouville sur Mer, Villerville, Honfleur...



3 étapes pour faire un couple

 

La relation amoureuse est un processus en mouvement qui passe par différents stades. De la fusion à la relation durable, analyse d’un parcours d’obstacles qui demande ouverture d’esprit et adaptabilité…

 

« Etre amoureux n’est pas un état mais un devenir », écrivait le psychosociologue italien Francesco Alberoni dans Le Choc amoureux(Pocket, 1993).

 

Depuis cet ouvrage de référence, on ne compte plus les études des thérapeutes de couple qui ont insisté sur le mode évolutif de l’état amoureux. Qu’elles mettent à jour trois, quatre ou six étapes, ces recherches s’accordent toutes pour dire que, du coup de foudre au rapprochement en passant par la différenciation, l’amour suit une chronologie.

Il ne s’agit pas de dire que toutes nos histoires de cœur se déroulent suivant un seul et même scénario ; chacun arrive dans le couple avec ses expériences, ses fragilités, ses forces, et c’est de la rencontre entre ces deux histoires que dépendront la nature et l’évolution de l’amour. Puis, selon le temps qu’ils prennent avant de cohabiter ou d’avoir des enfants, selon l’attention qu’ils portent à leur relation, selon leur âge aussi, les partenaires s’attardent plus ou moins longtemps sur l’une ou l’autre des étapes de la relation amoureuse. De même, le passage d’une phase à l’autre n’est pas définitif : il y a des temps de régression, d’accélération, de stagnation…


Il n’empêche : toutes les amours au long cours passent par des stades identiques. En nous appuyant sur les différentes études existantes, nous en avons défini trois.

En quoi ces étapes sont-elles la clé d’une relation heureuse et durable ? Comment passer de l’une à l’autre ?

Avec quelles conséquences ?

Analyse de l’histoire d’amour vu comme un parcours.


La fusion

 

1 -Notamment In Quest of the Mythical Mate : Developmental Approach to Diagnosis and Treatment in Couples Therapy d’Ellyn Bader et Peter T. Pearson (Burnner-Mazel, 1988).


Les signes : « Tu es celle que j’attendais » ; « Nous sommes d’accord sur tout » ; « Toi et moi ne faisons qu’un »… Aujourd’hui, toute relation, ou presque, commence par une attraction passionnelle. C’est l’amour intense, la « symbiose », d’après les psychologues Ellyn Bader et Peter T. Pearson. Pour les amoureux, chaque éloignement est un déchirement et chaque expérience partagée l’occasion de se découvrir de nouveaux points communs : il semble évident que l’on était faits pour se rencontrer.

Les avantages : cette étape est essentielle à la formation du couple puisqu’elle crée la complicité. La conseillère conjugale Françoise Sand ajoute qu’elle est « l’un des rares moments dans l’existence où l’on peut mûrir sans douleur » : elle permet de sortir de soi, découvrir des aspects de la vie que l’on n’avait pas envisagés seul ou dont on avait peur.

 

L’amour passion donne des ailes.

Les pièges : cet amour passion repose en grande partie sur des leurres. En effet, chacun s’imagine que si cette relation est aussi intense, c’est parce que l’autre correspond parfaitement à l’image du partenaire idéal qu’il porte en lui. Autrement dit, plutôt que de le voir dans ce qu’il est réellement et globalement, il devient le support de nos projections. L’attente à son égard est si forte que nous l’idéalisons : ses défauts sont niés au bénéfice de ses seules qualités.


Les clés : profiter absolument de cette lune de miel, car elle est aussi agréable qu’éphémère. Elle durerait entre deux et trois ans, en moyenne. Après ? Le retour à la réalité s’impose de lui-même et cette fusion si rassurante devient peu à peu étouffante, aliénante. Le besoin d’air se fait sentir.


La différenciation

 

Les signes : « Tu n’es pas celui que je croyais » ; « Je ne comprends pas que tu puisses aimer cela » ; « Tu ne sais pas ce que je pense vraiment »… Avec la cohabitation, le partage du quotidien et les responsabilités à assumer, le couple descend de son nuage pour se confronter à la réalité. Alors qu’ils ne voyaient que ce qui les unissait, les partenaires découvrent peu à peu leurs différences. L’autre révèle toutes les facettes de sa personnalité. Déception ? Inéluctablement, puisqu’il s’agit de dire adieu à l’image idéalisée que chacun avait de l’autre, mais aussi de soi : la vie à deux nous fait découvrir des aspects de notre propre caractère, que nous n’avions jamais eu l’occasion de cerner et que l’autre nous aide à percevoir.


Les avantages : cette étape est fondamentale puisqu’elle permet de se retrouver soi-même, de reprendre contact avec ses propres intérêts et objectifs de vie. Sans cette étape, la fusion finit par être vécue comme un carcan dans lequel les personnalités de chacun sont niées… jusqu’à la crise. Sur une infidélité ou un départ soudain, plus d’une histoire d’amour se termine avant d’avoir dépassé cette phase.


Les pièges : il n’est pas simple de rompre avec sa vision fantasmée de l’amour et d’accepter de vivre une relation qui ne soit pas tous les jours synonyme de plaisir. Signe de notre attachement à une tradition romantique ou de l’influence d’une société qui fait de l’hédonisme une finalité : nous avons tendance à penser que la fougue des premiers temps est « la » définition de l’amour. L’autre difficulté tient au fait que cette étape du retour à la réalité n’intervient pas simultanément chez les partenaires : celui qui vit encore dans l’idéalisation peut se croire abandonné, moins aimé, tandis que l’autre ne se sentira pas reconnu dans une relation devenue étouffante.


Les clés : de l’air et de la communication.

 

Prendre l’air, c’est savoir sortir du couple pour vivre ses loisirs, servir ses ambitions professionnelles… C’est redevenir « un », définir son territoire qui n’est pas le même que celui de son partenaire. Pour faire admettre cette prise de distance, la communication est indispensable : les partenaires doivent oser expliquer leurs envies, leurs besoins, afin d’éviter que cette différenciation soit interprétée comme une fuite ou un déclin de l’amour.

 

source: psychologiecom

 

Pour une consultation ou un soutien psychologique,

contactez-moi au 06 17 55 32 69

ou par mail à hypnobulan@gmail.com

http://www.hypnobulan.fr

Partager cet article
Repost0
22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 17:46

HYPNOSE ERICKSONIENNE A LAGNY SUR MARNE, THORIGNY, DAMPMART, CHELLES... SEINE ET MARNE

HYPNOSE ERICKSONIENNE A PARIS INTRA MUROS

CONSULTATION UNIQUEMENT A VOTRE DOMICILE

RENDEZ-VOUS UNIQUEMENT AU 06 17 55 32 69

CONTACT PAR MAIL A hypnobulan@mail.com

site : http://www.hypnobulan.fr

 

hypnobulan pub

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 19:54

 

PROGRAMMATION NEURO LINGUISTIQUE (PNL)
PAR TELEPHONE :
 
06 17 55 32 69 



 

OUI, cela fonctionne très bien.
 
Lors de cette conversation de 60 minutes vous m'expliquerez toutes ces choses qui vous gênent et grâce aux techniques PNL, je reformulerai vos propos de la façon la plus positive ou je les recadrerai dans un contexte vous amenant vous même à réfléchir.
 
 C'est un échange enrichissant car fait avec une personne neutre et objective à l'inverse de vos relations.
 
Vous aurez des pistes de réflexion (voir des exercices à faire après l'appel), et surtout cela sera tellement évident et positif que le mieux être s'installera instantanément.

Interessez ?
 
Joignez-moi au 06 17 55 32 69

 

 

 

 


 

 

 
                                                                                                                  Accueil
Partager cet article
Repost0
24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:50

Dimitri BULAN, Hypnothérapeute diplômé, est également Praticien en Programmation Neuro Linguistique.

Il nous présente brièvement son approche du coaching humaniste.

 

Contact :

hypnobulan@gmail.com

 

RDV :

0617553269

 


Partager cet article
Repost0
24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:45

Dimitri BULAN, Hypnothérapeute diplômé, nous définit ce qu'est un état hypnotique.

 

Contact :

hypnobulan@gmail.com

 

RDV :

0617553269

 

HYPNOBULAN.FR
Partager cet article
Repost0
24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:29

Dimitri BULAN, Hypnothérapeute diplômé, prèsente brièvement la relation mère / fille.


Contact :

hypnobulan@gmail.com

RDV :

0617553269

 

HYPNOBULAN.FR
Partager cet article
Repost0
24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:11

Dimitri BULAN, hypnothérapeute diplômé, vous présente un bref exercice de relaxation avec un langage approprié pour le bien et le mieux être.


Contact :

hypnobulan@gmail.com


RDV :

0617553269

 

link
Partager cet article
Repost0
29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 16:20

contactez  hypnobulan.fr

 

Partager cet article
Repost0
20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 16:41

L'ensemble de nos activités sont transférées en Normandie sur la zone havraise.

Les consultations téléphoniques sont toujours d'actualité, voir modalités sur le site.

link

 

P151109 11.580001

Partager cet article
Repost0