Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 12:11

Dimitri BULAN, hypnothérapeute diplômé, vous présente un bref exercice de relaxation avec un langage approprié pour le bien et le mieux être.


Contact :

hypnobulan@gmail.com


RDV :

0617553269

 

link
Partager cet article
Repost0
29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 16:20

contactez  hypnobulan.fr

 

Partager cet article
Repost0
20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 16:41

L'ensemble de nos activités sont transférées en Normandie sur la zone havraise.

Les consultations téléphoniques sont toujours d'actualité, voir modalités sur le site.

link

 

P151109 11.580001

Partager cet article
Repost0
27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 10:21

HYPNOBULAN, le cabinet de Dimitri BULAN HYPNOTHERAPEUTE DIPLOME DE L IFHE, hypnotherapeute en seine et marne :

Stop smoking ! Non ce n'est pas une soirée privé en jean basket mais le slogan à la mode importé d'outre atlantique.

Arretez de fumer ! Ou arreter de fumer !

Votre relation avec le tabac, la cigarette, est une relation compliquée.

Vous avez commencé...dans ce contexte, avec...et cela est ensuite devenu plus présent...

Du début où cela était un vrai plaisir...ou aujourd'hui cela peut être encore le cas...mais quelque part cela vous...

Alors, honnêtement ?

Amusons nous ensemble avec cet exercice de PNL que je vous offre, prenez quarante cinq minutes de calme, une feuille et un stylo et rédigez

Voulez vous réellement arreter de fumer ?

(une phrase, sujet verbe complément "je...")

Est ce un tiers qui vous incite à cesser cela...ou juste votre envie de mieux respirer, d'être mieux tout simplement ou d'être simplement...

Est ce important pour vous ?

(trois phrases, trois idées differentes "cela est important pour moi car je...")

Comment saurez vous que vous avez cessé cette mauvaise habitude de vie ?

(trois phrases, trois idées différentes au présent " je sais que ...car je...")

Pensez vous que cela est compatible avec ce que vous êtes, ce que vous faites, l'image que vous véhiculez ou l'assurance que vous essayez d'afficher ?

(trois phrases sur votre environnement,lieux,endroit,

 trois autres avec qui,

 trois avec quoi et comment je vis différemment)

Demain est un nouveau jour, vous avez acquis ce comportement nouveau que vous êtes venu chercher

(rédigez un paragraphe où "je..." et au présent en commençant votre journée, puis la matinée, le midi, l'après midi, le soir...)

Aujourd'hui, maintenant, qu'est ce qui vous empêche de réussir seul votre sevrage nicotinique ?

(trois idées)

Après avoir déjà avancé dans cette rédaction, de quoi avez vous besoin pour atteindre votre objectif ?

(trois phrases sur vos qualités de volonté, de ressources, "j' ai besoin de ..." 

Récapitulons, voulez vous...

donc vous avez décider de... car cela... et pour y arriver vous...


Vous savez maintenant si vous voulez cessez, arrêter définitivement ou modérer votre consommation...

si vous la considérez comme nocive ou alimentaire ou...

pour le plaisir ?

recentrez donc votre consommation dans un lieu autre que le bureau, la voiture, la maison... un lieu où vous prenez plaisir à être car la routine tue le plaisir

le plaisir se distingue du reste car il dure un temps, cela permet de l'identifier.

Personnellement, j'estime que votre degrés de motivation est important car il définit votre implication morale ainsi que le nombre de séances dont vous aurez besoin...

pas la peine de faire une séance unique avec un tarif psychologique...qui risque d'engendrer plus de frustration que le reste...

arreter de fumer n'est pas anodin, c'est un changement dans votre vie, un changement qui doit être suivi par le petit coup de téléphone qui va bien avec l'aide et le soutient psychologique personnalisé que seul votre hypnothérapeute doit vous apporter par sa disponibilité

"si tu changes, le monde changes"


Partager cet article
Repost0
13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 16:06
Les médecins généralistes face au décès de leurs patients
Les médecins sont souvent confrontés à la mort de leurs patients qu’ils prennent en charge dans leur globalité et dans leur environnement habituel. Leur accompagnement ainsi que celui de la famille est très important. Malheureusement, ils se retrouvent souvent seuls et manquent de formation spécifique. Les résultats d’une enquête exploratoire qualitative auprès de 10 médecins viennent d’être publiés dans la revue Pratiques et Organisation des Soins

Les auteurs ont voulu explorer la façon dont les médecins généralistes vivent le décès de leurs patients. Ils examinent à la fois leurs sentiments, leurs attitudes et leurs moyens pour faire face à ces situations. Dix-sept médecins libéraux exerçant en Ille-et-Vilaine ont été sélectionnés à partir de l’annuaire téléphonique, ils étaient répartis de façon équilibrée par sexe et par zone géographique (urbain / rural). Seuls 10 médecins (59%) ont accepté d’être interrogés. 
Les sentiments vis-à-vis du décès de leurs patients sont diverses : tristesse, incompréhension, sentiment d’injustice, culpabilité, mais aussi indifférence et sentiment de travail accompli. Ce vécu varie fortement selon la connaissance du patient, de sa famille, le type de décès et la gestion du deuil. De même, les attitudes des médecins par rapport au décès sont diverses. Ils prennent souvent du temps pour visiter leurs patients, accompagner la famille, plus rarement se rendre aux funérailles. De même, la rédaction du certificat de décès, non cotée par la Sécurité sociale, pose un problème délicat de rémunération. 
Les médecins se sentent souvent seuls par rapport à ces décès. Leur formation initiale aborde très peu ces problèmes et leur savoir vient de leur expérience. Alors que la société actuelle, avec une population vieillissante, souhaite garantir une qualité de vie jusqu’au décès, les médecins devraient être mieux formés aux aspects socioculturels et psychologiques de ce moment de la vie. 

tiré de :
Le médecin généraliste et la mort de ses patients
Partager cet article
Repost0
1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 12:09

Toutes les informations sont sur notre site

hypnobulan.fr

 

INVIT-STAFF.jpg INVIT-INFIRM.jpgP041109_10.060001.JPG P150410_13.560002.JPGP151109_11.580001.JPG P180210_13.220001.JPG

Partager cet article
Repost0
1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 12:05
Je me rappèle de cette personne qui est venue me voir précipitament pour me dire : "je prends l'avion ce soir et j'ai peur ! S'il vous plaît, faites quelque chose..."
Nous avons donc entrepris un travail en une séance de 90 minutes, pour faire quelques choses...
La personne a bien pris son avion.


Quelques temps plus tard, elle m'appèle pour me dire :
"C'est extraordinaire. Pour la première fois en trente ans j'ai pu prendre un café avant l'embarquement, m'installer dans l'avion tranquillement, lire et petit déjeuner, discuter avec ma voisine de siège, me déplacer dans l'avion pour aller me repoudrer...
Et entendre l'hôtesse me dire que nous arrivions déjà.
De ma vie c'est bien ma première bonne expérience d'un transport aérien."

Comme quoi, il suffit d'un petit quelque chose pour remettre les choses comme vous pourriez aimer qu'elles soient... 
La garde à vue devient une phobie chez certains.

Suite aux divers communiqués concernant la mise en garde à vue d'auto entrepreneurs (4000 selon RMC ce matin) pour des incohérences administratives ; une nouvelle phobie à vue le jour. "j'ai rien fait, ils sont venus me chercher comme un bandit et m'ont fait subir le circuit interpellation, palpation, menottage, fouille à corps (affaire vue et vérifiée dans un doc sur France 3) et placement en cellule de gardés à vue avec des délinquants pour violences physiques".

Autant le dire tout de suite...c'est la 4éme dimension !

Ce genre de phobie se soigne très bien en hypnose ericksonienne ou en atelier PNL... vivre sans peur injustifiée c'est possible

Partager cet article
Repost0
1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 11:37
« Suicide au travail : le cri d’alarme d’une psy »


Le Parisien


« Au moins une personne par jour se suicide à cause de son travail, c’est le diagnostic que porte la psychologue Marie Pezé .

Si rien n’est fait, elle prédit une augmentation du fléau » titre Le Parisien.

Le quotidien indique que, Docteur en psychologie, psychanalyste et expert judiciaire, Marie Pezé « a fondé en 1977 la première consultation « souffrance et travail » en France, à l’hôpital Max Fourestier de Nanterre (Hauts de Seine) » et qu’elle « pousse un cri d’alarme sur le risque imminent de suicide de nombreux salariés ».

Interrogée par Le Parisien, elle précise qu’aujourd’hui il y a « de plus en plus » de salariés qui « atterrissent » dans son bureau « en crise psychique aigue (..)

Ces cas extrêmes qui me sont envoyés par les médecins du travail, sont devenus courants.

Ils aboutissent à deux ou trois hospitalisations psychiatriques par semaine ».

Marie Pezé souligne que l’« on voit des gens très abîmés, qui ont l’impression de faire du sale boulot, notamment dans les hôpitaux où beaucoup évoquent une augmentation des erreurs médicales.

Beaucoup de médecins libéraux sont très mal aussi.

Ils subissent beaucoup de contraintes, notamment dans le contrôle de leurs actes ».

Le Parisien précise qu’avec « 52 suicides d’enseignants en 2008-2009, cette profession est l’une des plus touchées par ce fléau ».

Le quotidien indique également que « Le ministre Luc Chatel a annoncé qu’il souhaite désormais que « chaque enseignant dispose d’un bilan de santé l’année de ses 50 ans » et que « 80 médecins du travail soient recrutés ».

La psychologue rappelle qu’il existe « 30 consultations « souffrance et travail » et une cinquantaine des services hospitaliers spécialisés » et qu’il ne faut pas « hésiter à aller voir le médecin du travail » dont elle rappelle qu’il est « soumis au serment d’Hippocrate, au secret professionnel » et que par conséquent « les gens ne doivent pas avoir peur qu’il parle ».

Marie Pezé précise également que le médecin du travail « ne peut pas prescrire, mail il oriente le salarié vers les bonnes personnes ».
 
consultez votre hypnothérapeute ericksonien
Risques psychosociaux chez les syndicalistes....

Oui vous avez bien lu, et je parle des permanents syndicaux ; un milieu que je connais très bien pour l' avoir été moi même durant 8 années où j'ai été présent...Quoi qu'en disent les mauvaises langues, on finit toujours dans le clan des divorcés car celle là vous ne la voyez pas arriver;)


Sérieusement, la loi de 2008 sur la représentativité a été un sérieux coup de pied dans les milieux où les gens officient en plein temps pour le compte de leurs organisations syndicales.

Après les dernières élections (prudhommales, professionnelles ou internes), certains ont perdu leurs mandats électifs ; dans la continuité de réduction des postes de permanents syndicaux par établissement...

Mais que faire de ces gens qui ont traité d'égale à égale avec les Directions...

Comment leur carrière va se dérouler ?

Peut être certains auront la chance de suivre un bilan de compétences, d'autre une hypothétique VAE...

Je vous préconise un sérieux suivit thérapeutique en évitant la case médicaments facteurs de dépressions aggravées.

Mesdames et Messieurs les Secrétaires Généraux, je vous invite à une sérieuse réflexion sur le sujet " risques psychosociaux" dans l'intérêt des Femmes et des Hommes qui vous ont servi...

Des interrogations : hypnobulan@gmail.com

 

 

Il est vrai qu' assez souvent les personnes venant à l'hôpital ou dans toute annexe médicale ; considèrent le personnel comme des surhumains. Des gens qui travaillent et donc oublient d'être humain.

Mais qui se trouve derrière une blouse ?
Un Docteur, une infirmière, une aide soignante...

Ce ne sont que des fonctions, des qualificatifs professionnels pour résumer.
La vraie réponse est : des femmes et des hommes.
Des gens comme tout le monde, avec leurs rêves, leur vie et leurs soucies.

Mais face à leur implication dans cette profession si "humaine", au contact le plus proche de l'autre au moment le plus difficile de sa vie, comment font ils/elles ?
Que dire du stress psychologique généré par leurs relations avec les patients malades, la difficulté de certaines pathologies, le relationnel avec la famille du malade, la fatigue physique générée par les cycles de travail et par le travail en lui même.
Que faire de ces deuils à répétitions et que penser de toutes ses émotions internes et pourtant si contradictoires ?

Est il nécessaire de passer par des états du types :
-mal-être, anxiété, angoisse, troubles de l'humeur, tristesse, morosité, mélancolie, absence de projection dans l'avenir, repli social...
-difficultés d'attention, de concentration, troubles de la mémoire...
-asthénie, ennui...
-insomnies, hypersomnies
-migraines, troubles musculo squelettique (mains, poignées,coudes, épaules,cou et dos)...
-troubles digestifs (colite, diarrhée, gastralgie...)
-troubles cardiaques...
-variation de poids...
-conduite addictive...
-prise de médicaments
-absentéisme
-TS

L Hypnose Ericksonienne avec toutes ses techniques (visualisation, régression, deuil et pardon ...) est l'outil idéal pour solutionner cela, et dans un temps relativement court et sans médication ; autant dire tout de suite sans gêne avec l'exercice du métier.

hypnobulan.sante.officelive.com

 

 

« Le plan antistress de France Télécom »
Le Parisien


Le Parisien relate le « projet de prévention du stress remis aujourd’hui à France Télécom, [qui] comporte 107 propositions ». Le journal note en effet que « la comptabilité macabre continue chez France Télécom – déjà 7 suicides depuis janvier et 44 au total depuis 2008 ».
Le quotidien indique que le rapport du cabinet Technologia est une « «note d’étape intermédiaire», rédigée «à marche forcée» compte tenu de la gravité de la situation, avant le plan final de prévention qui sera remis en mai ».
Le Parisien explique qu’« il s’agit dans les grandes lignes de simplifier l’organisation du groupe, de donner plus d’autonomie aux manageurs locaux et de «réinventer» le rôle des «ressources humaines» totalement disqualifiées aujourd’hui ».
Le journal relève entre autres que « le rapport préconise la création d’«un réseau de médiateurs». Sortes de casques bleus, composés pour 30% d’intervenants extérieurs, ils relèveraient d’une «entité autonome» et seraient chargés d’écouter les salariés en difficulté et de jouer un «réel rôle d’arbitrage» ».
Le Parisien se penche également sur les médecins du travail, qui« se sont plaints d’avoir été ignorés lorsqu’ils signalaient des salariés en détresse. Leur rôle serait renforcé et le secret médical garanti ».
Le document précise que « cela suppose une remise en question éthique du management et des RH ».

Partager cet article
Repost0
31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 20:10
Cancer du poumon : arrêter de fumer à tout prix

Une méta analyse parue dans le BMJ montre que le fait d’arrêter de fumer après un diagnostic de cancer du poumon à un stade précoce à petites cellules ou non, améliore considérablement l’espérance de vie des patients. Ce bénéfice est bien lié à la moindre progression du cancer et non pas uniquement au bénéfice cardio-respiratoire du sevrage.

Afin de savoir si le sevrage tabagique améliore ou pas le pronostic de patients ayant développé un cancer du poumon, une équipe anglaise a effectué une revue systématique des études parues sur le sujet. Ils ont sélectionné des études contrôlées randomisées ou des études observationnelles qui permettaient de mesurer l’impact du sevrage sur le devenir des patients après un premier épisode cancéreux, indépendamment de l’agressivité et de l’histologie de la tumeur.
Les résultats montrent que dans 9/10e des études, la plupart des patients étaient diagnostiqués à un stade précoce du cancer. Pour ceux présentant un cancer du poumon non à petites cellules, continuer à fumer triple pratiquement le risque de mortalité toute cause (RR : 2.94) et double presque le risque de rechute (RR : 1.86). Quant aux patients présentant un cancer à petites cellules, cela double presque le taux de mortalité toutes causes (RR : 1.86), fait plus que quadrupler le risque de développer une nouvelle tumeur (RR : 4.31) et augmente significativement le risque de rechute (RR : 1.26)
Finalement, l’analyse statistique de ces études a permis d’évaluer à 33% l’espérance de vie à cinq ans chez les plus de 65 ans atteints d’un cancer précoce non à petites cellules qui continuent à fumer contre 70% pour ceux qui arrêtent de fumer. Quant aux patients atteints d’un cancer à petites cellules, l’espérance de vie à cinq ans est de 29% chez ceux qui continuent à fumer contre 63% chez ceux qui arrêtent.

 

 

..20 minutes après la dernière cigarette, la pression sanguine artérielle et les pulsations cardiaques redeviennent normales...

... 8 heures après, la quantité de monoxyde de carbone dans le sang diminue de moitié et l'oxygénation des cellules redevient normale...

...24 heures après, le risque d'infarctus du myocarde diminue déjà ; les poumons commencent à éliminer le mucus et les résidus de fumée...le corps s'est libéré de la présence de la nicotine...

...48 heures après, le goût et l'odorat commence déjà à s'améliorer et les terminaisons nerveuses gustatives commencent à repousser...

...72 heures après, la respiration s'améliore...


...2 à 3 mois plus tard, la fatigue et la toux diminuent. Le tonus musculaire s'améliore et les performances s'accentuent...

...4 à 9 mois plus tard, les cils bronchiques repoussent et les défenses s'accentuent et protègent contre les infections bronchopulmonaires...

...un an après, le risque d'infarctus du myocarde diminue de moitié ; le risque d'accident vasculaire cérébral rejoint celui d'un non fumeur...

...cinq ans après, le risque de cancer du poumon diminue presque de moitié...

...dix à quinze ans plus tard, l'espérance de vie redevient identique à celle des personnes n'ayant jamais fumé...

...ET VOUS, VOUS COMMENCEZ A ARRETER DANS COMBIEN DE TEMPS ?

TABAC : cigarettes, nicotine et patch...
Tout le monde le sait maintenant, les cigarettes sont mauvaises pour la santé.
Cela est même inscrit sur le paquet.
Dans certains pays, il y a des images en couleurs des maladies liées à la consommation de ce produit.

Arrêter de fumer est une très bonne idée en soi.

Les résultats de l'équipe du CNRS et du Collège de France dirigée par J. P. Tassin, directeur de recherche à l'INSERM, viennent de prouver que la nicotine seule ne suffit pas à déclencher l' état de dépendance chez les fumeurs.
D'autres composés du tabac s'avèrent indispensables pour en révéler le pouvoir addictif.
Cette découverte explique également pourquoi les substituts à la nicotine utilisés dans le sevrage tabagique sont inefficaces à long termes.

ect...

La solution passe par un travail personnalisé avec votre hypnothérapeute afin que vous trouviez les vrais motivations pour arrêter, ou fumer modérément
Chacun est unique, donc il existe une solution conforme avec vous même.
Partager cet article
Repost0